T : Salut, c’est Théo. Bienvenue dans cette nouvelle vidéo.

Je suis, aujourd’hui, avec un ami qui m’a rejoint sur Malte. Je vous présente Wilfried qui est dans le business du paléo. Ensemble, on va voir comment est-ce qu’il fait pour vivre de son business. Il va nous en parler en détail.

Wilfried, salut, ça va ?

W : Salut Théo.

T : Est-ce que tu peux nous parler de ton business, nous dire quels sont tes accomplissements, comment est-ce que tu fais pour générer ton cash et comment quelqu’un qui nous regarde, aujourd’hui, pourrait faire pour obtenir les mêmes résultats.

W : Avec plaisir. Je suis dans le milieu du paléo. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est l’alimentation naturelle de l’homme, c’est donc manger les produits les moins transformés possibles. C’est de vivre de façon harmonieuse avec la nature, pour ne pas trop subir notre monde moderne.

Moi, j’ai commencé sur Facebook. J’ai créé une page sur ce sujet-là et j’ai eu la chance d’être parmi les premiers en France. Du coup, je n’ai pas eu trop de concurrence pour démarrer, ça, c’était assez intéressant. J’ai créé un site aussi avec une amie. Et ça a très, très bien fonctionné. On était en binôme, donc ça plaisait bien aux gens d’avoir un garçon, une fille sur le sujet.

Assez rapidement aussi, on a créé un groupe Facebook, justement sur le paléo. Alors là par contre, il y avait déjà un petit peu de concurrence sur le sujet, il y avait déjà des groupes qui existaient, mais je me suis dit « On va tenter, on va en créer un quand même ». Et puis, on a mis une bonne énergie dedans, on l’a rendu vivant, on l’a animé. On va peut-être en reparler après, mais c’est vrai que les groupes Facebook, ça ne marche que si vraiment, on s’investit dedans, si on crée de la dynamique. Et, au final, le groupe a grossi, grossi, grossi. Aujourd’hui, j’ai pas loin de 9 000 membres, au moment où l’on enregistre cette vidéo. Donc, c’est super intéressant, ça fait des gens qui te suivent, qui sont là, à écouter ce que tu dis, qui peuvent échanger. C’est super intéressant.

T : Énorme. On mettra tous les liens dont on vous parle dans la description de la vidéo. Wilfried, quand tu as commencé dans ton groupe, tu avais zéro personne, comme tout le monde. Je suis sûr qu’il y a plein de personnes qui se disent 9 000, c’est énorme ! En effet, c’est une donnée qui est écrasante, mais quand Wilfried a démarré, il y en avait zéro.

 

Comment monter un groupe Facebook de zéro et quels sont les avantages ?

T : Comme il vient de nous le dire, il y a quelques secondes, il y avait plein d’autres groupes et lui, il commençait de zéro. Et pourtant, il a quand même créé son groupe, il a quand même réussi à monter une communauté. Aujourd’hui, on voit beaucoup d’informations à propos des pages sur Facebook, mais, il y a peu de personnes qui parlent des groupes sur Facebook. Wilfried, est-ce que tu peux nous parler de comment faire aujourd’hui, pour monter un groupe Facebook quand on démarre de zéro ? Quels sont les avantages par rapport à une page ?

Créer un groupe Facebook public ou privé

W : Comment monter un groupe ? Ce n’est pas très compliqué : dans Facebook, il y a un petit bouton Créer un groupe, ça, c’est super simple à faire. Il faut donner un nom sympa, il faut dire si le groupe est public, privé. Voilà, dans les grandes lignes.

Moi, j’ai choisi de prendre un groupe public, c’est-à-dire que tout ce qu’on met à l’intérieur est visible, par tout le monde, même par les gens qui ne sont pas membres. C’est un choix. Ça permet aussi au groupe de se développer parce que ça permet des partages, ça permet d’avoir une meilleure visibilité. Mais, je peux comprendre aussi que parfois, on a envie qu’un groupe soit privé, que ce qu’on dit à l’intérieur reste complètement confidentiel. Donc ça, c’est un choix à faire à la création.

S’investir dans le groupe et inviter les gens des groupes complémentaires

W : Ensuite, c’est vrai que son groupe ne va pas grandir tout seul. Il faut un petit peu s’investir. Ce que j’ai fait, c’est que j’ai été squatté, on va dire, de façon intelligente, non pas, les groupes concurrents, mais les groupes qui se rapprochaient de ma thématique. Un exemple concret, moi, je suis dans le paléo. Et le sport qu’on associe souvent au paléo, c’est le CrossFit. À l’époque où j’ai créé mon groupe, il y avait un énorme groupe de CrossFit en France. Alors, j’ai été dire : « Bonjour tout le monde, voilà, pour ceux qui veulent en savoir plus sur la nutrition, sur le monde du paléo et bien, j’ai créé un groupe. N’hésitez pas à venir à l’intérieur, c’est sympa, il y a une bonne ambiance ». Là, je n’ai pas spammé, parce que ce n’était pas un groupe concurrent, c’était un groupe complémentaire.

T : C’était un groupe qui avait la même clientèle que toi.

W : Voilà, la même clientèle, mais pas le même but, pas le même objectif. Donc, c’est passé vraiment tranquillement, il n’y a eu aucun souci. Je ne me suis pas fait bannir, parce que c’était fait de façon intelligente. Si vous venez dans un groupe concurrent, dire : « Venez dans mon groupe, il est mieux », votre publication va tenir deux minutes. Donc, il faut le faire de façon intelligente. Essayez de trouver dans votre thématique, les groupes les plus complémentaires par rapport à vous. Si vous avez un groupe sur la pêche, trouvez, par exemple, des gens qui s’intéressent à la chasse ; un groupe sur les voitures, les gens qui s’intéressent au tuning, des choses comme ça. Essayez de trouver des choses vraiment complémentaires. Et là, vous n’aurez aucun souci.

Et puis, il ne faut pas oublier aussi, qu’un groupe, ça n’a de la valeur que si on apporte de la valeur. Donc, il va falloir derrière montrer aux gens qui sont venus dans le groupe, que non seulement, ils ont intérêt d’y rester, mais qu’en plus, ils ont intérêt à inviter d’autres personnes à venir rejoindre le groupe. Ça, c’est une force qui est assez intéressante.

Les groupes sont les nouveaux forums

T : C’est un peu en fait la continuité des forums.

W : Exactement. Aujourd’hui, je pense que les forums, c’est un peu mort parce que, comme tu le sais, les gens passent énormément de temps sur Facebook. Facebook est super addictif, il y a beaucoup de choses qui s’y passent. Donc les gens, aujourd´hui, ne vont plus sur internet au sens « web » classique, ou très peu finalement. Doncl’avantage du groupe, c’est que ça remplace les forums. Il y a cette même dynamique : on pose des questions, on a des réponses. Mais, il y a toute l’ergonomie, la simplicité. Il n’y a pas besoin de créer un compte, on peut mettre des vidéos, on peut mettre des images. Il y a des fils qui se créent. On peut mettre des posts qui sont épinglés tout en haut. On peut modérer, on peut effacer des posts, on peut fermer les commentaires. C’est comme un forum, finalement.

Importance de l’aspect communautaire, partage de valeurs sur un groupe

T : Donc la grosse différence avec une page, c’est que, sur les groupes, si je retiens bien, on a plus l’aspect communautaire et il y a vraiment un partage de valeur et les gens sont plus investis.

W : Oui, parce que sur une page, c’est un peu ta vitrine. Tu montres ce que tu fais toi, et les gens derrière reçoivent. Alors que sur un groupe, tu es vraiment là pour échanger avec toutes les personnes. Personne n’est au-dessus, si je puis dire, mise à part le modérateur, mais il est un petit peu en arrière-plan. D’un point de vue échange, il n’y a pas de supériorité, tout le monde peut donner des idées, peut mettre des commentaires, etc.

Il y a une vraie dynamique qui se forme parce qu’au final, chacun s’entraide. Quelqu’un arrive, j’ai un problème et bien moi, à la limite, je n’ai pas besoin de bosser. Ça peut être quelqu’un d’autre qui répond à sa question. Donc, c’est ça qui est super intéressant.

Et comme je disais aussi tout à l’heure, quand un groupe est vraiment efficace, ce que peuvent faire les gens, c’est inviter leurs amis à rejoindre le groupe. Dans mon domaine, les gens mangent paléo. Ils en ont parlé autour d’eux : « Viens découvrir cette alimentation, c’est vraiment hyper bien, tu as de super résultats », ils cliquent inviter des amis et automatiquement, on récupère comme ça des personnes qui viennent dans le groupe.

 

Quelles sont tes 3 meilleures techniques pour monter un groupe ?

T : D’ailleurs, il y en a certainement qui t’écoutent et qui se disent 9 000 personnes dans son groupe, comment est-ce que je peux faire ? Si aujourd’hui, tu devais donner les trois meilleures techniques pour monter un groupe sur Facebook à partir de rien du tout, tu ferais quoi toi, si tu recommençais ?

Créer son groupe et dire ce qu’on y trouve

W : Alors premièrement, comme je l’expliquais, il faut créer son groupe et essayer dans des groupes similaires d’aller dire, de façon pas du tout agressive : « Voilà, j’ai un groupe, venez si ça vous intéresse » et surtout dire ce qu’il va y avoir dans le groupe. Si on dit, « venez dans un groupe »

T : Pour faire quoi ?

W : Pour faire quoi. Dans ma thématique, on dira qu’on va échanger des recettes, on va donner de bonnes techniques, il y aura des experts qui traîneront un peu sur le groupe et qui pourront répondre à vos questions. Donc, apporter un intérêt, parce que s’il n’y a pas d’intérêt, les gens se diront « moi, je n’ai pas que ça à faire ! »

Apporter de la valeur au groupe et l’animer

W : Ensuite, soit même, en tant que créateur du groupe, il faut apporter de la valeur, c’est-à-dire qu’il faut animer le groupe. Parce que si, parfois, on compte uniquement sur nos membres, et bien derrière, il y a un épuisement normal qui peut se créer. Donc, relancer régulièrement. Par exemple, moi actuellement, sur le mois de décembre, on fait cette vidéo au mois de décembre, j’ai fait une sorte de calendrier de l’avant des recettes. C’est-à-dire que, tous les jours, une recette va être postée et du coup, les gens vont devoir revenir pour voir la recette du jour, et ce, jusqu’à la fin du mois. Donc, ça crée une sorte de « mini-animation ». On crée un événement.

Demander aux gens de partager les publications et d’inviter leurs amis

W : Et puis, troisième technique : demander aux gens de partager les publications, de faire venir leurs amis, leurs centres d’intérêt, parce que du coup, ça va faire un peu un effet boule de neige. Les proches invitent des proches qui eux-mêmes invitent des proches. Ça marche bien.

T : Vous avez compris si vous partez de zéro, et bien, non seulement comptez sur votre communauté, mais également, faites en sorte de nourrir votre bébé, pour qu’il grossisse et que, pourquoi pas, l’effet boule de neige lui donne un encore plus bel effet.

 

Comment faire pour transformer les membres de son groupe Facebook en client ?

T : Il y a une autre question que je voulais te poser, tu m’as répondu juste avant la vidéo, c’est : « Comment est-ce que tu fais pour vendre sur ta page Facebook ? » Puisqu’aujourd’hui, globalement la plupart de tes clients, tu m’as dit que tu les attires via Facebook.

W : C’est ça, oui.

T : Comment est-ce que tu fais, du coup, pour convertir ces gens-là ?

Partager du contenu de valeur avec un appel à l’action

W : Alors, moi, j’ai une page et j’ai un groupe. L’idée, c’est déjà d’apporter beaucoup de contenu gratuit, c’est la base quand on fait du marketing sur internet, pour apporter de la valeur, pour montrer qu’on est quelqu’un d’intéressant et qui « vaut le coup » de suivre. Et de façon assez épisodique, faire du contenu un peu plus avancé où l’on va proposer des choses payantes, effectivement. Aussi bien, sur la page, en montrant une vidéo gratuite avec un appel à l’action derrière pour aller plus loin, que sur le groupe, ça sera un peu dans le même esprit, en partageant une publication qui apportera beaucoup de valeur à la personne, aux personnes qui suivent le groupe.

Créer une méthode avancée de A à Z (payante)

Et puis, derrière, comme toujours, dire « si vous souhaitez aller plus loin, j’ai créé une formation, j’ai un produit qui répond à ce besoin de façon très détaillée, où je vous prends par la main, pas par pas », etc. Ce que veulent souvent les gens, ce sont des méthodes de A à Z. Donc, typiquement, il faut créer un produit. Dans ma thématique, par exemple, ça va être « comment perdre du poids ». Mais, au lieu de donner une petite astuce, par-ci par-là, des petites touches, et bien là, c’est une méthode complète de A à Z avec une promesse. Par exemple : vous allez perdre un kilo par semaine. Mais il ne faut pas faire que du payant, il faut apporter beaucoup de gratuit, beaucoup de valeur pour montrer qu’on est quelqu’un de respectable, qui sait. Ensuite, les gens n’auront aucune difficulté à acheter.

T : Donc, Facebook puis directement vers une page de ventes.

W : Exactement.

 

Utilises-tu aussi la récupération d’e-mails automatiques et une page de capture ?

T : As-tu déjà mesuré la différence entre ton système et les e-mails automatiques avec par exemple, une page de capture ?

W : Alors je fais aussi ça, ça marche bien. L’idée est toujours la même. On fait un contenu qui apporte de la valeur, mais par contre là, il faut l’avoir en échange de l’e-mail. Typiquement, ça peut être une petite prémisse par rapport au produit payant. On donne déjà beaucoup de points essentiels et puis, derrière, comme toujours, « pour aller plus loin… ». Donc, oui, ça marche bien aussi. Et sur Facebook, il y a intérêt à le faire, parce que, typiquement, c’est une audience qui peut être un petit peu volatile. Donc, une fois qu’on a récupéré des prospects, il faut absolument essayer de récupérer leurs adresses e-mails.

 

Quel serait ton conseil pour quelqu’un qui veut se lancer sur Facebook ou sur un business en ligne ?

T : Et si tu avais un seul conseil à donner à quelqu’un qui voudrait, par exemple, se lancer maintenant sur Facebook ou démarrer un business en ligne, tu lui dirais quoi ? S’il veut démarrer, s’il se dit : « Voilà, moi, je veux me lancer, je veux vendre de l’information, je n’ai rien du tout pour l’instant », tu lui dirais quoi ? Tu ferais quoi ? Tu irais dans quel sens ? Bien évidemment, ça dépend, de plein de business différents, mais si toi, tu devais redémarrer, pas forcément dans ta niche, mais sur quelque chose, tu ferais quoi ?

Créer une communauté, créer une page

W : Je pense que je prendrais un petit peu la même recette. C’est-à-dire finalement, créer un groupe. Ça, ça marche bien. Créer une page pour sa vitrine, créer un groupe pour la communauté, et après il faut dire que c’est sa communauté. C’est quand même assez intéressant. On peut décider qui rentre, qui ne rentre pas. Donc, je pense que je referais ça, créer une communauté.

Se développer en se concentrant sur quelques plateformes

W : Et puis, j’essayerai d’aller sur le maximum de plateformes, mais pas trop non plus. Il ne faut pas s’éparpiller. Moi, j’ai choisi Facebook et YouTube. Ce sont deux piliers qui marchent bien aujourd’hui. Je pense que c’est ce que les gens recherchent. Il faut de se concentrer à fond, parce que c’est vrai qu’aujourd’hui, malheureusement, il y a tellement de choses disponibles qu’on peut se dire, je vais sur Instagram, je vais sur Pinterest, je vais sur Facebook, je vais sur YouTube. Je pense qu’on ne peut pas être bon partout, donc il faut choisir peut-être une ou deux plateformes que l’on maîtrise bien, où l’on est à l’aise, sur laquelle on sent qu’il y a un potentiel et puis miser tout dessus.

Créer régulièrement du contenu de qualité qui fait réagir

W : Apporter beaucoup de valeur, créer du contenu régulièrement, surtout sur Facebook. Parce que sur Facebook, le problème, c’est qu’il y a un peu une guerre de l’attention. Aujourd’hui, en fait, c’est extrêmement compliqué de sortir du lot sur Facebook, parce que les gens sur leurs murs, ils sont extrêmement sollicités, de tous les côtés. Donc, il faut absolument se démarquer en mettant du contenu de qualité, voire même parfois du contenu qui aura tendance un petit peu à choquer. C’est-à-dire, un contenu qui nous fait dire : « Je ne m’y attendais pas du tout » et qui nous fait partager. Parce que, si c’est trop consensuel, ça va rester un peu noyé dans le flot de l’actualité. Il faut sortir du lot, en mettant des choses, qui vraiment ont un impact sur les gens, qu’ils se disent : « Waouh ! Il y a un côté un peu choquant » mais pas au sens dégueulasse. Le côté choquant, c’est « je ne savais pas, j’ai appris un truc, je me suis sur le cul ». Donc, mettre des trucs impactants.

 

Est-ce que dans ton domaine, tu utilises les vidéos ?

T : D’accord. Pour rebondir par rapport à ça, Wilfried, dans son domaine, ça va être les photos et peut-être, je ne sais pas, les vidéos impactantes, celles qui sont choquantes. Tu as essayé des vidéos ?

W : Alors, des vidéos, oui. Typiquement, dans ma thématique, il y a un produit qu’on connaît, qu’on consomme tous les jours, et puis là, on va avoir le making off, comment c’est fait en vrai dans l’usine. Et là, on va se dire « Ah oui, d’accord, je ne vais peut-être plus l’acheter parce qu’en fait, c’est vraiment dégueulasse ».

T : MacDonald, le reportage !

W : Par exemple. Ou des pâtes à tartiner que tu connais bien. Essayez de choquer un peu les personnes parce que ça, ça marche bien. C’est extrêmement viral.

Adapter le contenu en fonction des domaines

T : Wilfried, dans son domaine, c’est plus du contenu un petit peu choquant et moi à l’inverse, sur mon business de web marketing, je vais poster pas mal de publications d’inspiration. Alors c’est vrai que c’est intéressant d’un point du partage, mais par contre, je trouve que personnellement, tout ce qui est des publications avec de l’humour à l’intérieur, en rapport avec l’entreprenariat, ça aura vraiment un impact beaucoup plus fort. Alors peut-être aussi que j’ai habitué mon audience à avoir des publications d’inspiration, donc c’est pour ça que, quand je change, ça fait un petit peu plus de buzz. Mais en tout cas, c’est le retour d’expérience que je peux vous faire par rapport à ça.

Avoir son style et éduquer son audience

W : De toute façon, on « éduque son audience ». Il y a un lien qui se crée entre ton audience et toi, c’est vrai qu’il y a un style. Après il faut l’entretenir et le conserver.

T : Donc éducation du prospect et ensuite vous envoyez la sauce. Vous les envoyez vers une page de vente ou une page de capture, comme fait Wilfried.

Si vous voulez tout simplement obtenir des résultats identiques à ceux de Wilfried, ce que je vous recommande, c’est de regarder dans la description de la vidéo. Vous retrouverez également tous les liens vers ses sites web, groupe Facebook, etc. Si le paléo vous intéresse, vous avez également tout ça dans la description de la vidéo. Et vous avez également une heure de formation pour vous aider à créer votre blog qui rapporte, plus 30 thématiques de blog qui rapportent. Mais, ne vous lancez pas dans le paléo, sinon Wilfried vous fera la tête. Et sinon, vous avez un lien qui apparaît juste ici, si vous êtes sur ordinateur.

On se retrouve de l’autre côté et peut-être dans le groupe de Wilfried.

Ciao !