T : Salut, c’est Théo. Bienvenue dans cette nouvelle vidéo.

Aujourd’hui, je suis avec Roman Paillet. Il a des business dont on ne pourra pas vous citer les noms parce qu’il est dans un marché où il y a pas mal de concurrence et on n’a pas envie de révéler ses petits secrets. Mais ce qu’il va vous dire aujourd’hui, c’est : comment gagner de l’argent sur internet avec des business dont je n’ai pas parlé du tout, via quelque chose dont j’ai encore moins parlé. Il va vous expliquer comment est-ce qu’il vend et il va vous expliquer également comment est-ce qu’il attire son trafic pour vendre. Ce sont deux choses dont je ne vous ai jamais parlé.

Salut Roman, est-ce que tu peux te présenter et nous dire ce que tu fais sur le web.

R : Roman Paillet. J’ai démarré il y a déjà un petit moment avec de l’infoprenariat, quelque chose d’un peu plus classique dont tu parles pas mal. Et depuis peu de temps, je me suis lancé dans l’e-commerce, via une formation. J’ai suivi la formation et j’ai trouvé que c’était hyper intéressant, qu’il y avait beaucoup d’opportunités dans l’e-commerce. J’avais envie de faire une pause dans l’infoprenariat. Je me suis dit que j’allais tester ça. Ça a bien marché. Et donc maintenant, je me spécialise là-dedans.

Quelle plateforme d’e-commerce utilises-tu ? Comment cela fonctionne-t-il ?

T : Est-ce que tu peux nous dire la plateforme que tu utilises sur l’e-commerce et comment est-ce que ça fonctionne ? Est-ce que tu as du stock, comment est-ce que tu attires tes clients ? Comment est-ce que tu les convertis ? Comment est-ce que tu fais ?

Créer un site marchand avec Shopify

R : C’est un modèle qui part vraiment de la pub sur Facebook. En fait, on va, tout simplement, faire de la pub sur Facebook et ensuite, on va les emmener sur un site d’e-commerce, un site marchand que j’ai créé avec Shopify. Shopify, vous en avez peut-être déjà entendu parler parce que c’est un truc assez monstrueux. Ça a été créé par des « start-upers » Australiens. C’est une plate-forme qui est vraiment en pleine explosion. C’est un petit peu le WordPress du site de e-commerce. Très rapidement, avec Shopify, on met son thème en place et voilà, on a un site qui est en ligne, qui fonctionne, qui accepte les paiements.

Faire du « drop-shipping »

Après, au niveau des producteurs, c’est là qu’en comparaison avec la plupart des commerçants, c’est du « drop-shipping ». C’est-à-dire qu’on va directement acheter auprès des producteurs et ce sont les producteurs qui vont s’occuper de la livraison. Ce qui veut dire qu’on n’a pas de stock, qu’on ne se prend pas la tête à essayer de créer des produits. Les produits existent déjà. Et c’est vrai que c’est un truc qui m’a beaucoup plu, là-dedans, le côté : « Je n’aurai pas à créer de produits ».

Quand on est infopreneur, il faut quand même arriver à créer des formations, être capable d’avoir cette création-là. Et c’est vrai que moi j’avais un peu du mal. Je créais des produits, mais du coup, j’avais du mal à les promouvoir parce que j’étais déjà un peu fatigué de les avoir créés. Là, le fait d’avoir des produits directement, j’ai pu me concentrer à fond sur le marketing. Et c’est comme ça que ça marche.

Comment fonctionne Shopify ? Est-ce difficile à utiliser ?

T : OK. Et du coup, quelqu’un qui voudrait démarrer, qui se dit « Shopify, c’est bien, mais comment est-ce que ça fonctionne ? » Il y a pas mal de monde également qui connaît WordPress. Shopify d’un point de vue difficultés, est-ce qu’il faut être développeur ? Qui pourrait le faire ?

Facile d’utilisation

R : Franchement, tout le monde. C’est un truc, un petit peu comme WordPress, ce sont des plateformes qui sont intégrées, qui se simplifient de plus en plus, avec les années. Il y a un abonnement à payer, mais je crois qu’il y a quinze jours d’essai. Donc, vous pouvez essayer de mettre en place votre site d’e-commerce.

Chercher des produits qui fonctionnent déjà

R : Après, c’est bien d’avoir un site de e-commerce, mais si tu n’as pas de trafic, il n’y a rien qui se passe. Donc, il faut trouver des produits qui buzzent, qui marchent. Dans le drop-shipping, ce qui est bien, c’est qu’on peut directement aller chercher des produits qui marchent déjà, qui ont déjà des ventes et les mettre en avant sur son site web.

Avoir une bonne communication – Faire de la publicité

R : Après, ce qui va faire la différence entre vous et un autre magasin, ça sera un petit peu le design, votre communication, ce que vous faites. Moi, je fais principalement de la pub Facebook. Mais on peut trouver des gens sur Instagram, on peut trouver des gens via de la pub sur Google, etc. C’est hyper rentable. On dépense de l’argent, et derrière, les gens arrivent sur notre site. En fait, on peut vraiment les traquer.

Je pense que c’est un business où il est vraiment important d’être carré. C’est-à-dire de dire : je mets 2 euros dans la machine, combien y en a-t-il qui ressortent ? Aujourd’hui, c’est un peu ça la magie. Je mets de l’argent sur Facebook et je vois qu’il y en a plus qui ressort. Donc, c’est cool.

Quels sont les chiffres associés à ta publicité ?

T : Aujourd’hui, est-ce que tu peux nous dire, par exemple, combien est-ce que tu paies de publicité et combien est-ce que tu récupères en bénéfice, en chiffre d’affaires ou en retour sur investissement ? Est-ce que tu peux nous dire ça, et surtout après combien de mois, parce que je trouve ça vraiment impressionnant.

R : Ce qui est assez exceptionnel avec ce business model là, et c’est ce qui m’a séduit, c’est que ça peut aller très vite. La publicité a ce pouvoir-là. Imaginons que vous mettiez quelque chose en place, si vous êtes rentable, vous mettez un euro et il y a deux euros qui sortent. Je vous pose la question : combien d’euros êtes-vous prêts à mettre dans une machine comme ça ?

T : C’est clair !

R : Vous appelez votre famille, vos cousins, vous leur dites « Balancez tout l’argent que vous avez ! ». Et du coup, c’est ça qui est incroyable, on touche de plus en plus de gens. Moi, ça fait trois, quatre mois que je me suis lancé, j’ai une page Facebook qui a déjà 10 000 like.

T : Combien d’e-mails aussi ?

R : Je dois avoir 4 000 e-mails dont peut-être 3 000 de clients. Donc ça va très, très, très vite. Aujourd’hui, je pense que mon entreprise a une certaine valeur, par rapport à l’argent que je génère chaque jour… Pour te donner les chiffres, on va essayer de rester sur les chiffres. Le mois dernier, j’ai dû faire environ 600 euros de ventes par jour, les marges sont quand même beaucoup plus basses qu’en infoprenariat parce qu’on n’a pas mal de frais, mais là, on peut travailler dessus. On peut augmenter ces prix, on peut s’améliorer sur la pub Facebook. A un moment, j’étais à 20 % de marge, maintenant, je suis à 30 % de marge. Ça veut dire qu’en ce moment, ça fait entre 150 et 200 euros par jour que je gagne vraiment, qui vont dans ma poche. Donc, c’est super cool.

Quel est ton conseil pour trouver sa thématique d’e-commerce ?

T : Quelqu’un qui démarre de zéro, qui regardera certainement cette vidéo, qui va se dire « Je veux faire comme Roman, je vais lui envoyer plein d’e-mails et je vais l’embêter pour savoir comment faire pour trouver mon idée de produits ou de business », qu’est-ce que tu lui conseillerais pour trouver sa thématique e-commerce ?

Savoir quelle est sa source de trafic principale.

R : Il y a vraiment un choix incroyable en e-commerce. Les gens achètent plein de choses. Il faut réfléchir en plusieurs termes, notamment, quelle sera votre principale source de trafic ? Par exemple, moi, j’ai décidé de partir sur Facebook.

Qu’est-ce qu’il faut comprendre derrière Facebook ? C’est du social. Donc, il faut réfléchir à des choses que les gens peuvent partager. Donc, si on part sur une stratégie Facebook, on va aller chercher des produits qui ont ce pouvoir de partage : des trucs qui sont viraux, des trucs qui sont marrants, qui sont funs. Il faut réfléchir. Les gens n’ont pas envie de partager des sextoys, de toute façon la pub sur tout ce qui est sexuel, ça ne marche pas sur Facebook. Ils n’ont pas envie de partager de logiciels informatiques.

Si vous utilisez Facebook, trouvez une niche de passionnés

Il faut aller chercher des niches de passionnés. Ils voient un truc, c’est leur passion. Ils voient un truc de pêche, les pêcheurs vont « liker » ; un truc de chasse, les chasseurs vont « liker » ; un truc de chiens, tous les gens qui aiment les chiens vont « liker ». Donc, il faut vraiment aller trouver, si on part sur Facebook, une niche de passionnés.

Si vous utilisez Google AdWords, adaptez votre stratégie

Au contraire, si vous partez sur du Google AdWords, alors là, vous pouvez taper sur des niches beaucoup plus larges de ce que les gens tapent, en général, sur Google. J’ai des amis qui vendent des lampadaires. Tu vois, tu tapes lampadaires sur Google et ils sont premiers. Donc, du coup, ils font beaucoup de ventes. Mais là, on n’est pas sur Facebook, donc la stratégie est un petit peu différente. La stratégie va être sur des produits plus larges.

Quel est ton conseil pour quelqu’un qui veut se lancer dans la pub Facebook ?

T : OK. Et par rapport à ton acquisition, du coup, sur Facebook, est-ce que tu pourrais donner un conseil à quelqu’un qui voudrait démarrer la pub Facebook et qui se dit, comme moi : « La pub Facebook, c’est trop compliqué, il faut avoir plein d’argent, moi, je n’ai pas le temps de créer une offre qui convertit, etc. » Aujourd’hui, qu’est-ce que tu conseillerais à quelqu’un qui veut démarrer de la pub sur Facebook ?

Utilisez le « power editor » sur Facebook

R : Ouvrez le power editor. Passez par le power editor, n’utilisez pas le « boost Facebook » qui est un peu pourri. C’est vraiment le truc basique, mais c’est un peu nul. Donc ouvrez le « power editor », formez-vous là-dedans, ce n’est pas si compliqué que ça.

Au départ, ça parait un peu compliqué, mais chaque jour, Facebook est en train d’améliorer ça de plus en plus. Essayez de faire des choses. Il faut vraiment se rendre compte que la publicité ne coûte rien. Moi, avant je ne faisais pas de pub et je ne comprenais pas le pouvoir que ça avait. Même si à l’heure actuelle, vous n’avez pas de produits, utilisez la pub. J’ai un ami qui récupère des e-mails sur la nutrition, il doit payer 10 – 15 centimes l’e-mail, avec une vidéo toute bête.

T : C’est beau !

R : C’est beau. Et tu te dis que même si tu n’as pas de produit, tu as récupéré une grosse liste e-mail, à la fin de journée, tu as peut-être récupéré 100 e-mails par jour. Il y a une sortie d’un collègue à toi qui fait un programme, tu fais de l’affiliation, tu es rentable ! Donc, la pub, c’est monstrueux.

N’hésitez pas à faire de la publicité Facebook, même avec peu d’argent

R : Si vous me dites que vous n’avez pas les moyens, c’est ce que je dis à Théo, les gens qui disent qu’ils n’ont pas les moyens de faire de la pub, c’est parce qu’ils ne font pas encore de pub ! Parce qu’à partir du moment où vous faites de la pub, et sur Facebook, c’est ça qui est monstrueux, c’est que tu peux démarrer avec 5 euros. Donc, tu démarres et tu commences à voir les résultats. Et vraiment, en testant plusieurs trucs : « Tac ! Est-ce que les gens cliquent ? Est-ce que les gens machin ! En ciblant différentes audiences et en vous formant un petit peu, vous allez cartonner ! Il n’y a pas de souci là-dessus !

Comment faire pour trouver les produits à vendre ?

T : Énorme ! Est-ce que tu peux nous dire, par exemple, quelqu’un qui trouve son idée de business de e-commerce, qui crée son site Shopify, comment est-ce qu’il fait pour trouver des produits ? Où est-ce que tu achètes tes produits ? Est-ce que tu peux nous le dire ?

Avec AliExpress

R : Oui, je peux vous le dire, ça s’appelle AliExpress. Il y a pas mal de gens qui connaissent ce site-là. C’est, en fait, un petit peu le dérivé d’Alibaba. Alibaba, c’était plutôt à la base pour acheter des produits de Chine, en masse. Sur AliExpress, on peut acheter à l’unité. Ce qui est monstrueux puisque, du coup, on peut aller chercher une unité d’un produit et directement l’expédier chez la personne.

Les prix pratiqués sont extrêmement faibles. C’est vrai que ça choque un petit peu. C’est pour ça que sur votre site, ça ne choquera pas si vous multipliez le prix par cinq. Parce qu’en fait, aujourd’hui, si vous allez dans un Décathlon, je ne sais pas si j’ai le droit de citer des marques, mais allez, on y va ! Si vous allez dans n’importe quel magasin, vous allez voir les produits, par exemple, un T-shirt ça vaut 20 euros ; en Chine, un T-shirt, ça vaut 2 euros. Donc, vous pouvez trouver des choses comme ça. Je ne me lancerais peut-être pas dans les T-shirts parce qu’il y a des problèmes de taille, etc. Mais il y a énormément de produits qui ne sont même pas disponibles en France que les gens seraient ravis d’acheter et que vous pouvez proposer à un prix supérieur puisque vous, vous en faites le marketing, vous le mettez en avant. C’est un petit peu ce business-là, le concept, c’est ça. Donc AliExpress, vous pouvez commencer. On mettra le lien…

T : Oui, dans la description de la vidéo.

R : Dans la description, allez voir, faites quelques recherches, allez dans les différentes catégories qu’ils proposent. Vous allez voir « Ah tiens, il y a les dauphins. Tiens, il y a les outils de cuisine ! » Vous allez voir, il y a vraiment plein de produits.

Comment est-ce que tu sélectionnes un bon produit ?

T : D’ailleurs comment est-ce que tu sélectionnes un bon produit ? Quel est le critère principal pour un bon produit ?

En fonction des notations des producteurs

R : C’est super simple. C’est comme ce que nous nous faisons sur Amazon. Quand tu achètes sur Amazon, qu’est-ce que tu fais pour sélectionner un bon produit ?

T : Je regarde la notation, tout simplement.

R : AliExpress, c’est pareil. Tu as des notations des producteurs, tu as le nombre de vente. Donc ce qui est monstrueux par rapport à Amazon, c’est que tu peux vraiment classer les produits par nombre de ventes. Donc, tu peux déjà savoir si un produit se vend très bien sur cette plateforme-là.

En fonction du nombre de produits vendus

R : Moi, je ne sélectionne pas les produits qui ont moins de 100 commandes. Parce que moins de commandes, ça veut dire que ça n’a pas été testé, les gens ne savent pas trop. Donc, je sélectionne des produits qui ont déjà au moins 500, 1 000, 2 000 commandes. Tu regardes ce que les gens en disent, les retours clients, il y a des photos. Les gens te disent : « Ce produit est bien ; ce produit n’est pas bien ». Tu peux regarder les notes des producteurs. Il existe différents critères comme ça pour sélectionner des gens qui sont carrés, qui envoient les produits et avec qui il n’y aura pas de problème.

T : Si je récapitule, Roman est en train de nous dire que :

– on peut créer un site, plutôt facilement, sur Shopify

– on peut trouver un produit. Et en plus de ça, quand on va sur AliExpress, on voit directement quels sont les produits les plus vendus

– on peut commencer avec peu d’argent sur Facebook

R : Il ne faut pas donner autant !

Quels sont l’avantage et le désavantage d’être sur du e-commerce ?

T : Est-ce que tu peux nous donner un des avantages de ce type de business ? Quel est, pour toi qui a connu aussi l’infoprenariat, l’avantage et le désavantage d’être sur du e-commerce ?

Le désavantage

R : On va parler du désavantage parce qu’on a déjà parlé beaucoup des avantages : le seul désavantage, c’est que ce n’est pas quelque chose avec lequel je suis vraiment aligné. C’est vrai qu’il y a ce plaisir dans l’infoprenariat de recevoir chaque jour des e-mails de gens disant : « Tu m’as aidé ». Et c’est vrai que ça, c’est quelque chose qui me manque un petit peu. Et c’est pour ça que je retournerai certainement sur l’infoprenariat parce que j’ai vraiment ce côté, j’aime bien aider les gens, donner du sens à ce que je fais, etc. Alors que là… Après, je pense que tu peux, il y a des produits, etc. mais je trouve qu’il y a un peu ce désavantage.

Les avantages

R : Après, il y a énormément d’avantages. Le fric, ça peut aller très vite. C’est hyper automatisable. Je sais que toi, tu aimes bien tout ce qui est business automatisable. Moi, aujourd’hui, j’ai délégué à deux personnes. Honnêtement, je peux ne rien faire pendant deux semaines et je sais que les ventes tomberont.

Via la publicité, ça peut se « scaler » très rapidement. Donc tu peux gagner beaucoup plus qu’avec un business infoprenarial. Quoique, pour l’infopreneur, c’est pareil, les techniques qu’on a partagées ici, sachez-le, elles s’appliquent complètement au business infopreneur. Si vous faites de la publicité sur Facebook, par exemple, vous pouvez très rapidement faire décoller les ventes. L’idée, c’est surtout de se mettre à la pub pour envoyer du lourd. Donc, oui, il y a plein d’avantages sur ce business-là. Moi, ça m’a vraiment fait du bien.

Tu vois, il y a un truc aussi, c’est qu’on dit souvent, « il faut avoir la passion ». En fait, je me suis rendu compte que j’avais une passion, c’était la passion du business !

T : Bienvenue !

R : Tu vois ! C’est marrant parce que je pensais être passionné surtout par ma thématique. Et ma thématique en infoprenariat, il faut avoir un peu une double passion : la passion de sa thématique et la passion du business. Toi, du coup, tu fais des vidéos business, donc c’est un peu lié. Mais moi, je me suis rendu compte, je me suis dit : « Je vais me faire chier si je fais un truc qui est pur business ». En fait, ces trois mois ont été un pur plaisir, le fait de relancer quelque chose de nouveau, il y a une excitation.

Tu vois aussi les ventes tomber. Quelque chose qui est chiant, quand tu ne fais pas de pub, c’est que tu balances ta vidéo, tu as deux vues (c’est ta maman et ta sœur). Du coup, ce n’est pas hyper motivant ! Là, tu as directement des ventes, des retours et ça motive à fond pour envoyer du lourd.

Qu’est-ce que le « power editor » ?

T : Génial. On a utilisé des mots peut-être un peu techniques pour certaines personnes. Est-ce qu’on peut dire, en détail, ce que c’est que le « power editor » ?

R : Oui, c’est vrai que je suis allé un peu vite. Le « power editor », c’est l’outil de Facebook, un petit peu avancé, pour la publicité. C’est un truc qui se fait sur Chrome. Vous allez d’abord sur Facebook for business, c’est un site qui s’appelle Facebook for business, (il sera dans la description) qui va passer votre Facebook en gris. Si vous voyez quelqu’un qui a un Facebook gris, c’est qu’il fait du business. Le Facebook gris, ça va vous permettre d’accéder à tous les outils Facebook au niveau de la publicité, de la recherche d’audience, tu as pleins de choses, de créer des « look alike »…

Deux autres outils importants sur Facebook for business

R : Je ne t’ai pas parlé de plusieurs outils, très très puissants. On peut en parler très rapidement. Deux outils ultras puissants qui font que, pour moi, ce truc-là marche encore plus fort, c’est le « retargeting » et tout ce qui va être « look alike ».

T : Qu’est-ce que c’est ?

Le Look alike

R : Le « look alike », tout simplement, tu donnes à Facebook ton audience : par exemple, ton audience d’acheteurs, tes e-mails et lui va chercher le un pourcent de gens en France qui ressemblent le plus à ces gens-là. Donc, évidemment, ce sont des gens hyper qualifiés. Facebook va créer pour toi un avatar et aller faire de la pub aux gens qui y ressemblent le plus. Donc ça, c’est monstrueux.

Le retargeting

R : Le « retargeting », c’est encore plus puissant. Vous l’avez sûrement déjà fait si, par exemple, vous avez déjà acheté un billet d’avion. Vous regardez un billet d’avion, vous partez du site et le lendemain, ça ne manque pas, vous avez un e-mail… Et vous avez de la pub sur Facebook. Et ça, c’est hyper puissant, parce que c’est faire de la pub à quelqu’un qui est déjà venu voir votre offre. On ne tombe jamais sur un site internet par hasard. Si je suis allé sur son site, Théo, et que le lendemain, j’ai une pub pour tes programmes, j’ai beaucoup plus de chance d’acheter qu’un mec qui ne te connaît pas.

Et moi, sur le retargeting, je crois qu’à l’heure actuelle, je suis avec un ROI de 7. C’est-à-dire que pour chaque euro que je mets, il y a 7 euros qui ressortent. Honnêtement, même si vous ne faites pas de pubs Facebook, faites du retargeting. C’est-à-dire que les gens qui viennent sur votre site, remettez-leur une dose. Dites-leur : « Les gars, les gars, n’oubliez pas, mon site existe encore ». Et vous allez voir, ce sont des résultats monstrueux. Même si vous avez une toute petite offre, ça va cartonner.

 

Quel est ton conseil pour les gens qui voudraient se lancer ?

T : OK. Est-ce que tu aurais juste un seul conseil à quelqu’un qui se dirait : « Je ne sais pas, je suis encore un peu hésitant pour me lancer dans ce business-là », est-ce que tu aurais un conseil pour les personnes qui voudraient démarrer, se lancer.

R : Oui. « Actions ! Actions ! Actions ! » Après, c’est bien beau d’apprendre, mais il faut mettre concrètement en place des choses. Tu vois la formation que j’ai suivie, il y a plein de gens qui n’ont pas réussi. Et je pense que parfois, c’est parce que les gens se posent beaucoup trop de questions. Ils n’agissent pas suffisamment. Ce qui est génial avec les pubs, c’est que l’on peut tester des trucs et avoir directement des réponses. Des fois, on fait son site internet, on rajoute un truc, on ne sait pas trop si ça va marcher. Là, on met 10, 20 euros et on sait si ça marche ou si ça ne marche pas. Et grâce à cette réponse, on a tout de suite un truc. Du coup, c’est :

– action massive,

– on analyse les résultats, (au pire, on change ce qui ne va pas)

– action massive,

– et rapidement, on a un système qui fonctionne.

T : OK. On a déjà vu pas mal de chose avec Roman. Tout simplement, si vous avez regardé cette vidéo, c’est peut-être que les business en ligne vous intéressent. Alors vous retrouverez dans la description de la vidéo tous les sites web que l’on vous a cités pour vous aider à démarrer votre business en ligne, plus une heure de formation offerte pour créer votre business qui rapporte.

Pour ceux qui sont sur ordinateur, le lien apparaît juste ici, jusqu’à l’épaule massive de notre ami Roman et jusqu’à la mienne. On va essayer la petite épaule. Le lien se trouve également dans la description de la vidéo.

Vous avez 30 thématiques de blog qui rapportent, qui sont également possibles dans le domaine du e-commerce puisque ce sont des analyses que j’ai faites par rapport au volume de recherche, par rapport à la concurrence qui existait sur les moteurs de recherche, donc, les résultats, les sites web concurrents, etc. Vous pouvez également utiliser ces thématiques, si vous êtes dans le domaine du e-commerce. En plus de ça, vous recevrez une heure de formation offerte pour démarrer votre business en ligne.

Merci à Romain d’être venu et on vous souhaite une excellente journée.

R : Merci Théo.

T : Ciao !