Salut, c’est Théo. Dans cette vidéo, j’aimerais partager avec vous mon parcours d’étudiant fauché à aujourd’hui, entrepreneur qui a plusieurs entreprises qui travaillent pour elles.
Et aujourd’hui je peux jouir d’une liberté qui est plutôt intéressante puisque quand vous n’avez plus de patron, vous pouvez évidemment choisir vos horaires de travail, choisir aussi votre salaire en fonction de votre résultat.
Vous pouvez également choisir dans quel lieu vous allez travailler et ce que vous faîtes dans votre entreprise. Donc c’est beaucoup de liberté, beaucoup de plaisir. Il n’y a pas seulement juste une histoire d’argent.
Et j’aimerais partager avec vous aujourd’hui comment est-ce que j’ai fait pour passer d’étudiant fauché à aujourd’hui, entrepreneur qui dispose de multi entreprises.
Donc, d’où je viens ? Déjà, très simplement je viens de la ville de Tourcoing qui est la ville, une des villes les plus pauvres de France qui se situe dans le Nord-pas-de calais. Alors aujourd’hui qui s’appelle Hauts-de-France je pense.
Et donc voilà, j’ai commencé juste après le collège, j’étais en BEP, vente – action – marchande. Alors c’est un diplôme, qui est un diplôme non pas universitaire mais c’est un diplôme qui est très facile d’accès et bien voilà, concrètement j’avais de très mauvaises notes au collège, j’étais nul et je ne donnais pas d’effort.
Et en fait je ne voyais pas vraiment, je ne connaissais pas ma voie, j’étais un petit peu perdu. Et tout le monde autour de moi me disais, mais qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? Je ne savais pas. J’étais en mode « mais foutez-moi la paix », je veux juste jouer aux jeux vidéo et au bout d’un moment, progressivement c’est venu cette idée de créer une entreprise. Mais allons-y étape par étape.
Donc, tout d’abord j’ai fait un BEP vente – action – marchande. C’est un diplôme où on apprend à vendre. Voilà, ça ne va pas très loin. Quand je dis on apprend à vendre, c’est voilà, dire on dit bonjour, aurevoir, les formules de politesse, c’est déjà pas mal.
Et un jour, c’est là vraiment où j’ai eu un déclic. C’est qu’un jour j’ai fait un stage dans un magasin de vêtements. Donc un magasin de vêtements, limite c’est un entrepôt de vêtements où les gens peuvent acheter. C’est limite si les clients n’achètent pas les vêtements au kilo tellement que vraiment, ce n’est pas du luxe quoi.
Et donc je commence mon premier jour de stage. J’arrive en stage et je dis : « Bon, alors qu’est-ce qu’on va faire pendant 10 jours ? » et la dame qui est en face de moi me dit : « Ecoute, ce que tu vas faire c’est que tu vas commencer par aller dans la réserve et tu vas mettre les antivols sur les vêtements. »
Et donc cette dame me regarde et me dit : « Tu vas faire ça ? » et moi je dis : « Ecoute, non, je n’ai pas envie de faire ça. Moi je suis venu ici pour apprendre à vendre. » Et là tu es en train de me dire que je dois rester au fond d’une réserve où il faisait tout noir, c’était dégueulasse, il faisait froid. Ce n’était vraiment pas joli du tout. Et je devais y passer le plus clair de mon temps à mettre des antivols sur les vêtements. Je me dis mais non, je ne vais pas faire ça.
Et là elle m’a dit une phrase qui va mais marquer le cerveau pour l’instant jusqu’au reste de ma vie, même je crois que ça fait 10 ans aujourd’hui. Non, ça ne fait pas 10 ans parce que j’avais 17 ans. 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, ça fait 7 ans que j’ai retenu cette phrase. Elle m’a dit : « Tu n’as pas le choix. ».
Mais tu n’as pas le choix. Et c’est là, à partir de ce jour là où je me suis dit, ok, dans la vie il faut bosser parce que si on a de l’argent, ça nous permet d’avoir le choix.
Et c’est vraiment à partir de ce jour là où je me suis dit il faut vraiment que je travaille dur, il faut vraiment que je progresse, que j’améliore mes connaissances pour avoir des métiers qui me permettent d’avoir le choix et de faire ce que je veux avant tout, avant même de gagner de l’argent.
Donc le fait que je n’ai pas le choix, ça m’a vraiment ouvert l’esprit. Juste après mon BEP, je fonce en Bac professionnel de commerce. Donc là je commence un Bac professionnel, je suis encore une fois avec des personnes qui sont issues d’un milieu qui est relativement modeste, dans une des villes les plus pauvres de France.
Donc vous vous doutez bien que là-bas on ne se promène pas en basket blanche ou en t-shirt, enfin en chemise blanche, c’est plutôt basket dégueulasse et jean troué. C’est plutôt le style du moment.
Et donc je suis dans ce collège, je suis dans ce lycée, qui est le dernier lycée de France. C’est ceux qui ont le plus mauvais résultat. C’est le lycée de Sévigné dans la ville de Tourcoing. Et donc voilà, j’étais dans ce lycée et voilà. Je commençais à avoir faim.
Je me rendais compte que ce que j’apprenais ça n’allait pas assez vite pour moi. J’allais également dans quelques stages. Là c’étaient des trucs un peu mieux parce que je faisais par exemple vendeur de chemises.
Mais pour des chemises qui coûtaient 60 ou 80 euros. Donc ça commençait à être intéressant. J’étais en contact avec une clientèle qui me plaisait un peu plus. Ensuite j’ai fait animateur en centre aéré. Et là vraiment, ça m’a mis aussi une grosse tarte parce que je gagnais 7 euros de l’heure. Et que j’étais payé pour 35 heures alors que je travaillais au moins 45 heures.
Donc c’est là encore une fois où je me dis, voilà, si tu n’es pas entrepreneur, si tu es salarié, tu n’as pas de boîte, tu te fais prostituer par des patrons. Voilà, même si tu ne donnes pas tes fesses mais quelque part tu donnes ton temps, tu donnes ta vie en échange de quelques euros qui pour eux ça ne vaut pas grand-chose.
Donc c’est là où encore une fois je me suis rendu compte qu’il y avait 2 types de personnes. Ce qui était au contrôle d’un business et ce qui travaillait pour le business d’un autre.
Donc animateur, ça aussi ça m’a bien réveillé. Juste après, j’obtiens mon Bac et je commence un BTS NRC. Ça veut dire Négociation, Relation Client.
Alors c’est un diplôme qui voilà… ça fait un peu péteux mais c’est juste un diplôme qui vous apprend à vendre. Alors là on est allé un peu plus loin. Là c’était vraiment intéressant parce que là j’étais vraiment dans un des meilleurs lycées publics du Nord-Pas-de-Calais, à mon sens, je ne les connais pas tous, mais qui s’appelle Gaston Berger à Lille. C’est un super lycée, moi que j’aime beaucoup.
Et donc je suis rentré dedans. Là j’étais vraiment content parce que du coup je me trouvais avec des personnes qui pour le coup ne venaient pas de milieu qui était très pauvre et qui du coup avait peut-être plus une éducation un petit peu différente. Et du coup je me sentais un petit peu mieux, je me sentais plus en sécurité parce que dans mes précédents lycées, tu sors ton téléphone, tu n’es pas sûr de le retrouver.
On te demande l’heure, ce n’est pas pour savoir quelle heure il est. Tu vois ce que je veux dire ? Donc c’était assez délicat. Donc je commence un BTS NRC. Bien évidemment je le termine et là j’avais fait quelques stages où j’étais en téléprospection. C’est-à-dire on est téléphone, on appelle des gens et on essaie de leurs vendre des choses.
Donc j’ai fait d’abord un stage auprès d’un loueur de matériels de construction. Je ne peux pas vous citer la marque, je ne peux pas vous citer l’entreprise mais en gros, je devais appeler pour vendre des formations, pour apprendre à des entreprises à conduire des engins de chantier.
Par exemple vous voyez, les grosses tractopelles ou etc. alors il faut des formations comme les permis de conduire pour conduire ça. Ça se passe en une à deux semaines. Et moi je devais vendre justement ces formations qui permettaient d’avoir ce diplôme. Un peu comme une auto-école mais pour les engins de chantier.
Et donc là je me souviendrai toujours parce qu’on m’a un petit peu fait croire que j’allais gagner de l’argent en … j’allais gagner des commissions.
On m’avait donné 1.000 euros d’objectif à faire dans le mois, j’ai fait 30.000 et je n’ai pas eu de commission. Je n’ai pas du tout été payé. Donc pareil, je me rends compte encore une fois que quand on est salarié et qu’on est un petit peu derrière le bureau, on est un petit peu soumis. Même si votre patron a dit A et bien il va vous mettre B et voilà, vous n’avez pas le choix.
Donc encore une fois je me rends compte que dans l’entreprenariat, c’est plutôt intéressant d’être au sommet. Puis être en-dessous c’est un peu moins intéressant, surtout si votre patron c’est un enfoiré. Donc là je me rends compte de ce truc-là.
Ensuite, j’obtiens mon diplôme, mon BTS NRC et je commence une licence de webmarketing. Donc là, attention, on rentre dans la gamme supérieure. Licence quand même, là je me dis, licence, le petit truc sympa.
Et là je me rends compte que la licence de webmarketing, ce n’est pas encore bien développé dans le nord de la France et qu’il y a seulement 2 lycées qui le proposent dans la ville de Roubaix.
Encore une fois, une ville qui malheureusement n’est pas une des villes les plus riches de France. Très loin de là. Je crois même qu’elle se trouve, pas très loin tout en bas du classement. Et donc du coup, je vais dans un des lycées justement qui propose cette licence de webmarketing.
Qu’est-ce qu’il se passe ? Je me rends compte encore une fois que les professeurs sont très loin de la réalité. C’est-à-dire que ce sont des personnes qui vous expliquent comment créer des business en ligne et qui eux-mêmes n’en ont jamais créés.
Ça me foutait un petit peu les glandes. Donc j’étais là en mode ouais mais moi je veux apprendre à faire du business mais qui aujourd’hui peut m’apprendre ce truc-là ?
Et il y a une question que j’ai posé aussi beaucoup de fois à tous mes professeurs, c’est comment je peux devenir millionnaire ? Comment est-ce que je peux devenir riche ? Et j’ai eu beaucoup de professeurs qui se sont soit foutus de ma gueule ou soit qui se sont dit, nous on ne sait pas vraiment comment faire. Tu devrais peut-être faire comme ça et donc c’est là où je me suis rendu compte que je n’étais pas au bon endroit.
Et donc après 3 mois de licence en webmarketing, j’ai arrêté. J’ai arrêté parce que j’étais en alternance, je gagnais déjà bien, je gagnais déjà je crois 1.200 ou 1.300 euros par mois en alternance. Ce qui n’est plutôt pas dégueu quand on est étudiant.
Non, je gagnais 1.400. 1.400 euros net et en plus de ça j’avais des blogs puisque lorsque j’ai passé mon BTS NRC, j’ai en même temps créé un blog pour aider les étudiants de ma classe et c’est là où j’ai commencé à créer un business puisque j’ai mis en vente des fiches de révision et je commençais à gagner voilà, le premier mois 140, le deuxième mois 280, troisième mois 480 et quatrième mois, pardon, 1.600 euros.
Donc vous additionnez déjà ces revenus là à un revenu en alternance, c’était déjà plutôt confortable. Et donc je me rendais compte que je n’avais pas forcément besoin… Voilà, je commençais à avoir le choix dans ma vie.
Et je me rendais compte que je n’avais pas besoin d’être dans une école, assis sur une chaise, pour commencer à progresser niveau business.
Et donc du coup, qu’est-ce qui s’est passé ? Je commence à aller sur YouTube, je me rends compte qu’il y a des gens qui gagnent de l’argent sur internet. Je me rends compte qu’il y a des gens qui gagnent beaucoup d’argent sur internet et qui ont non seulement beaucoup d’argent mais qui ont la vie dont ils rêvent.
C’est-à-dire, ils habitent dans des endroits plutôt sympas, ils vont en vacances quasiment quand ils veulent ou même pour ne pas dire quand ils veulent, dans des hôtels vraiment très jolis. Ils peuvent se permettre d’acheter ce qu’ils veulent. Ce n’est pas seulement ils achètent plein de trucs, c’est ils peuvent se le permettre.
Puisque moi je l’ai vécu pendant longtemps, j’étais dans la frustration, je me disais, oui je ne pourrai jamais acheter une Ferrari ou une Lamborghini mais tant que je le peux, je me dis bon à quoi ça va me servir au final ? Je ne sais plus vraiment mon objectif.
C’est plutôt le choix derrière qu’ils avaient. La liberté de pouvoir vivre la vie qu’ils veulent et ne pas vivre dans la frustration ou dans l’insécurité financière puisque pour ma part, bien évidemment vivant dans une des villes les plus pauvres de la France, je ne vous fais pas un dessin. Ma famille ne fait pas partie des plus riches de France. Voilà, vous avez compris ce que je veux dire. Donc, ça a commencé comme ça.
Je commence à gagner de l’argent avec mes blogs, je quitte ma licence en alternance, j’essaie de vivre de mes blogs et au bout de 2 mois, j’ai mon papa qui me dit : « Théo, c’est bien, tu gagnes de l’argent avec tes blogs mais je ne suis pas sûr que ça va durer. Tes revenus ils sont un petit peu en dents de scie. Parfois tu gagnes 2.000, parfois tu gagnes 1.500, le mois d’après tu vas gagner 3.000 et après l’autre mois tu vas gagner 1.000… »
Et c’est vrai que mes revenus étaient vraiment en dents de scie puisque je testais des choses, et voilà, je voyais ce qui marchait, je voyais ce qui ne marchait pas et je testais.
Et je me rends compte que mon papa me dit : « Théo, je stresse beaucoup pour toi, il est temps que tu te prennes en main financièrement, tu vas bientôt prendre ton envol quoi », pour ne pas dire : « Allez, bouge ! »
Et donc du coup, je me suis… Ok, il faut vraiment que je trouve un job. Mon papa me voyait également souvent derrière l’ordinateur et il se disait oui, qu’est-ce qu’il est en train de faire, il ne comprenait pas, il ne se disait pas il est en train de développer un business en ligne.
Donc mon père je m’en souviendrai toujours, il me demandait de faire également des tâches ménagères à la maison mais il me disait oui mais tant que t’es à la maison tu peux le faire. Mais papa, je travaille sur mon business en ligne, j’essaie de développer un truc.
Donc ce n’était vraiment pas facile d’allier le tout, donc qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai dit à mon père, écoute papa, regarde ce que je vais faire. Je vais continuer à développer mes business en ligne et en plus de ça je vais trouver un contrat et je vais bosser pour n’importe qui, je m’en fous, histoire que ça nous rassure tous les deux.
Et donc du coup je trouve un job en tant que téléconseiller. Donc téléconseiller peut-être que vous savez ce que c’est, peut-être que certains d’entre vous l’ont fait. C’est un des jobs les plus pourris que j’ai fait.
Vous avez un téléphone, vous avez un ordinateur, des clients rageux qui vous appellent : « Il est où mon café » ou… bref, des clients qui pètent un plomb. Vous répondez au téléphone tout souriant et puis vous faîtes aligner et puis vous devez répondre selon un script. Voilà.
C’est le merveilleux job de téléconseiller. Donc voilà, j’ai trouvé ce job, j’ai fait ce job pendant 6 mois et au bout de 6 mois, bien évidemment, j’avais accès à 6 mois de chômage. Et donc du coup, ces 6 mois de chômage m’ont permis de vraiment m’asseoir sur une sécurité financière pour avoir le temps et surtout la tranquillité d’esprit de me dire ce n’est pas grave même si mon business en ligne ne fonctionne pas. Je peux toujours me servir du chômage pour pouvoir manger et puis me loger.
Et donc du coup, c’est ce qui s’est passé sauf que moi ce que j’ai fait c’est que j’ai vraiment mis le paquet pendant que j’étais en train d’être salarié. C’est-à-dire que le premier jour où je viens en tant que téléconseiller, je vois que c’est un métier horrible.
Le deuxième jour, qu’est-ce que je fais, je monte dans ma voiture et plutôt que de simplement faire la route, je colle une caméra de sport sur le pare-brise de ma voiture et je fais une vidéo par jour tous les matins en faisant la route.
Je faisais également une autre vidéo par jour le midi durant mes pauses déjeuner et je dictais également un article et donc quand je rentrais chez moi, je revenais avec 2 vidéos et un article de blog d’à peu près 700 mots. Voilà, donc toutes les personnes qui diront oui, je ne peux pas créer mon business en ligne, j’ai un blog, je ne peux pas m’en créer mon business en ligne parce que j’ai un job, moi ça ne m’atteint pas.
Donc je vous invite vraiment à dégager du temps et de l’énergie pour développer tout de même vos business en ligne.
Donc au bout de 6 mois, qu’est-ce qui s’est passé ? Je me suis dit, tiens après 6 mois je vais utiliser mon chômage. Sauf que qu’est-ce qui s’est passé, j’ai eu, pas la chance, mais j’ai eu la détermination de monter mon business et j’avais des résultats qui étaient… je commençais à gagner entre 3.000 et 4.500 euros par mois avec mes blogs.
Qu’est-ce qui s’est passé ? Evidemment je ne suis pas resté en France. Je me suis dit, tiens je vais voyager, ça y est je peux enfin me permettre la vie dont je voyais les autres réussir. Boum, je m’en vais en Thaïlande et je suis parti pendant 1 an en Thaïlande. Je suis revenu vite fait en France, je suis reparti directement.
C’était vraiment un voyage incroyable. J’ai appris beaucoup de choses sur le monde extérieur et sur moi-même et c’est là où pour la première fois j’ai pu prendre mon indépendance financière que je me suis déjà fait d’ailleurs tatouer sur le bras.
Peut-être que vous vous souvenez pour ceux qui ont regardé ma chaîne YouTube. Je m’étais fait tatouer en vidéo et il est marqué « Indépendant financièrement depuis Chiang Mai » qui est une petite ville dans le Nord de la Thaïlande.
J’ai voyagé en Asie pendant un an, j’ai voyagé ensuite en Europe pendant 6 – 7 mois et maintenant je suis installé dans la ville, enfin le pays, a plus révélateur, dans le pays de Malte, qui est un tout petit pays qui n’est pas très grand mais qui est pour ma part me suffit largement, qui est un très beau pays.
On profite de plein de choses. Il y a bien évidemment l’aspect fiscal qui est intéressant mais il y a aussi l’aspect île. On se sent en vacances, il fait vraiment beau, moi c’est ici que j’ai rencontré ma petite amie aujourd’hui avec qui je suis très bien.
On part de temps en temps en vacances puisque Malte c’est proche de plein de choses. Et dernièrement, la semaine, je crois que c’était le mois dernier, on est parti en Sicile et on est parti également en Pologne à Cracovie, voir un ami. Donc voilà, c’est proche de tout. Il y a pas mal davantage par rapport à tout ça.
Et pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ? Parce qu’il y a quelqu’un, il n’y a pas longtemps qui m’a posé une question qui m’a dit : « Théo, si tu devais tout recommencer depuis le zéro, est-ce que tu ferais la même chose ? Est-ce que maintenant que tu sais que les business en ligne ça fonctionne, est-ce que tu ne te serais pas dit je ne fais que ça et je ne travaille jamais en tant que salarié ? »
Et bien ma réponse est non. Je ferai exactement la même chose parce que le fait d’avoir fait des stages pourris, le fait d’avoir fait des jobs pourris, le fait d’avoir été dans des diplômes de merde, le fait d’avoir été dans des lycées mais pourris, ça m’a appris un truc. Ça m’a donné les crocs. Ça m’a donné envie de développer plus de choses.
Parce que j’ai compris que si je ne travaillais pas, et bien j’allais rester dans ce cercle de … j’allais rester dans ce qu’on appelle la rate race, j’allais rester dans ce qu’on appelle le salariat, j’allais rester derrière un bureau, j’allais rester derrière un patron, j’allais dépendre d’un patron, j’allais fermer ma gueule quand un patron allait me dire ferme ta gueule, j’allais sourire quand je devais sourire… Voilà, simplement parce que c’était mon lieu de travail.
Et aujourd’hui tout ça je ne le fais plus et c’est pour ça que je vous partage cette vidéo qui n’est pas vraiment préparée. J’avais juste noté sur mon téléphone l’ordre chronologique pour ne rien oublier mais c’est une vidéo que je vous fais comme ça un petit peu à l’arrache qui j’espère vous plaira et qui vous retrace un petit peu mon parcours de A à Z.
Donc aujourd’hui si vous avez une situation qui ne vous plaît pas forcément, dîtes-vous bien une chose, c’est que ça vous forme, ça vous donne les crocs, ça vous motive à faire quelque chose de beaucoup plus gros après.
Donc voilà, j’espère vous avoir retransmis un maximum de force et de courage à travers de cette vidéo. Si vous souhaitez vous lancer, il y a un lien qui apparaît dans la description de la vidéo, vous retrouverez également un petit carré juste ici.
Vous cliquez dessus et vous accèderez à 101 idées de business. C’est un livre numérique que je vous offre, qui va vous permettre de vous lancer. Vous retrouverez donc 101 idées de business qui rapportent. Je vous montrerai étape par étape comment vous lancer.
Je mettrai également en avant des liens utiles qui vous permettront d’avancer encore plus rapidement, de développer ce que vous souhaitez développer. Et également, vous retrouverez des citations d’entrepreneurs inspirantes.
Donc tout ça se passe dans la description de la vidéo ou sur le lien qui apparaît ici. Merci d’avoir regardé cette vidéo et votre attention. Tchao tchao !
Entrepreneur, investisseur immobilier et passionné de liberté financière, j’ai accompagné des milliers de personnes à réussir sur internet au travers de formations en ligne, guides et coaching personnalisés.