Du métier d’informaticien à celui d’entrepreneur à succès, découvrez dans cet article, la biographie et le parcours de Florent Fouque. Un homme aux multiples talents dont l’ingéniosité et la passion pour le business, en ont fait un expert de choix dans le domaine de l’immobilier et du marketing web.

Âgé de 37 ans, Florent Fouque est un jeune entrepreneur français qui au fil des années a gravi les échelons pour s’imposer aujourd’hui comme l’un des meilleurs experts dans le domaine de l’immobilier. Marié et père d’enfants, celui-ci est le tout premier à proposer dans ledit domaine, une méthode d’investissement totalement nouvelle et différente, à savoir la technique de la colocation.

Par ailleurs, grâce à ses talents d’homme d’affaires, mais surtout du haut de ses expériences dans l’investissement immobilier, Florent Fouque jouit également d’une grande notoriété en matière de consulting. En effet, ce dernier a la réputation d’être un consultant assez callé dans les domaines du marketing web et de l’excellence opérationnelle.

En plus de ses multiples casquettes, le père de famille heureux, exerce en parallèle d’autres activités comme celle de conseiller auprès de grandes sociétés. En la matière, il intervient généralement pour donner des conseils sur le Community Management en interne ou sur des vidéos de communication.

Mais il faut relever cependant, que Florent Fouque n’a pas toujours été un entrepreneur immobilier dans la mesure où, ce n’est que plus tard après plusieurs années à bosser comme employé salarié, qu’il embrassera une telle carrière.

A la base, Florent Fouque est un développeur web. Du moins, c’est cette fonction qu’il exercera pendant longtemps auprès d’une société de services et d’ingénierie en informatique (SSII) ; ainsi que celle de gestionnaire et responsable informatique dans la grande distribution. Après plusieurs années à occuper un emploi salarié, le jeune homme en quête de liberté professionnelle, décide de démissionner de son poste pour aller créer sa propre entreprise.

A cette période, le jeune entrepreneur n’a alors qu’une chose à l’esprit, celle de vendre des informations à travers le net. Cette option lui parait en effet être la meilleure et c’est dans ce sens que Florent Fouque monte en 2011, ce qui sera sa toute première entreprise dénommée CUBIK Diffusion. Comme c’est le cas en principe, pour chaque nouvel investissement, les débuts sont assez difficiles et le chef d’entreprise travaille à un rythme effréné, soit près de 10 heures par jour et ce, toute la semaine sans profiter des weekends.

Au bout de l’effort, la société de Florent commence à bien marcher et s’agrandit peu à peu. Face à cette situation, il doit recruter plus de personnel, ce qui implique davantage de travail de la part du jeune patron qui rêvait pourtant d’une certaine marge de liberté sur le plan professionnel. Ceci dit, en plus des tâches propres qu’il remplit au sein de sa société, Florent doit en outre consacrer beaucoup de temps à la gestion et au contrôle des tâches dévolues à ses employés.

Face à ces conditions de travail, le jeune entrepreneur se lasse petit à petit. Et ce d’autant plus, qu’il se rend compte que son affaire le confine davantage au service des entreprises, plutôt qu’à la vente même des informations sur internet comme il le désirait. Seulement, cette activité qui ne le passionne plus vraiment, lui permet néanmoins d’avoir des chiffres d’affaires intéressants, et de s’offrir un revenu mensuel de 5000 euros. Dès lors, l’équation la plus difficile pour Florent Fouque qui souhaite changer d’univers, est d’imaginer un tout autre nouveau business susceptible de lui rapporter au moins autant.

Après maintes réflexions, Florent Fouque décide de tenter cette fois ci, l’aventure dans l’immobilier qu’il considère comme l’alternative adéquate. Mais avant de passer à l’action, il s’inscrit à une formation dans le domaine afin d’y acquérir des compétences et les astuces nécessaires pour faire un bon entrepreneur immobilier.

L’aventure de Florent Fouque dans le monde immobilier ne s’est guère faite au hasard. Avant de s’y lancer, le jeune entrepreneur a pris le temps de murir sa décision et de se former préalablement dans le domaine. C’est après toutes ces considérations qu’il décide de faire son premier investissement immobilier. Celui-ci (l’investissement) portera notamment sur l’achat d’un appartement de 115 m². A cette époque, le prix du bien à la vente est fixé à 88 000 euros, mais à l’issue des négociations, Florent l’obtient finalement pour 67 000 euros. Un premier coup de maître pour ce dernier !

Cependant, les choses n’ont pas été aussi faciles telles qu’on pourrait le croire. Avant de réussir à obtenir un crédit immobilier destiné à l’acquisition de son bien, Florent Fouque va essuyer plusieurs refus de la part de différentes banques qui ne faisaient alors pas trop confiance à son statut d’entrepreneur. Face à cet obstacle, Florent ne lâche pas l’affaire et continue de chercher un crédit qu’il obtiendra finalement auprès d’un établissement financier convaincu de son projet.

Florent Fouque qui tient désormais son premier bien immobilier (appartement), va y réaliser quelques travaux, après quoi, il le placera en collocation. Il le loue particulièrement à des jeunes exerçant un métier et aux étudiants. Et au cours de la première année, cela lui rapporte un revenu locatif de 1 200 euros sur le mois. Concrètement, le jeune français y gagne un cash-flow de 600 euros et génère près de 12 % de rentabilité sur son investissement dès cette première année.

Face à ce résultat positif, le jeune entrepreneur choisir d’étendre son empire immobilier. Tout lui semble en effet, bien plus simple à gérer que pour le cas d’une entreprise classique qui requiert plus d’efforts surtout au début. Ainsi donc, peu de temps après l’acquisition et la mise en valeur de son premier appartement, Florent Fouque s’en procure quatre autres. Cette fois ci, tout se fait plus facilement car, l’homme d’affaires bénéficie désormais d’une certaine expérience en la matière. Par ces nouvelles acquisitions, Florent démultiplie ses chiffres d’affaires et génère plus de revenus mensuels.

Avec 5 appartements à son actif, l’activité immobilière de Florent Fouque lui génère entre 14 et 18 % de rentabilité sur ses investissements. Ceci dit, grâce à ces 5 biens, le jeune homme peut dorénavant, s’offrir chaque mois, un cash-flow positif de 3050 euros, soit un salaire de cadre. Avec ce nouveau revenu, Florent qui continue de vendre des formations sur internet, peut désormais, tout de même, se permettre plus de liberté dans son temps de travail. En parallèle, il se lance dans un autre type de location, celle à courte durée. Pour mettre sur pied ce nouvel investissement, il achète un petit appartement de 37 m² et réalise un gain sur la première année de 9 000 euros.

L’entrée de Florent Fouque dans l’univers de l’immobilier a sans aucun doute été couronnée d’un franc succès. Ce qu’il faut par ailleurs noter, c’est qu’une telle réussite n’a pas été le fruit d’un pur hasard. Bien au contraire, si le jeune entrepreneur s’en est bien tiré pour ses débuts et par la suite, c’est parce qu’il a préparé puis assis un certain nombre de stratégies avant de se lancer dans l’aventure. Parmi celles-ci (ces stratégies), l’on peut citer le choix par exemple d’opter pour un système de colocation, ou encore, pour une démarche bien spécifique dans la quête des éventuels locataires.

D’une part, le choix d’un système de colocation est fait à dessein. Car, contrairement à la classique méthode de la location saisonnière, Florent Fouque savait très bien que la colocation lui éviterait moins de paperasses et surtout moins de formalités telle que la gestion des check-in et check-out. De plus, il est parfaitement au courant de ce qu’en général, la colocation est celle que préfèrent les jeunes actifs et les étudiants. En ce sens, ce système présente l’avantage de la longévité et peut s’étendre sur une année scolaire ou davantage : ce que n’offre guère la location saisonnière.

Toujours dans la même logique, afin d’optimiser ses offres de bail, le jeune entrepreneur se donne la peine de meubler ses appartements avant de les placer en colocation. Il insiste particulièrement sur la qualité de ses biens et malgré cela, loue très souvent ceux-ci à des prix moins élevés que ceux pratiqués sur le marché. Toute chose qui permet à ses appartements d’être très sollicités.

Ceci dit, en la matière, Florent applique un mécanisme bien huilé. Sa stratégie pour chacun de ses appartements est très simple, et pour 1000 € de location mensuelle, l’as de l’immobilier compte en moyenne 500 € pour couvrir les frais de travaux sur le mois. Après quoi, les 500 € restant constituent sa part de revenu propre ou son cash-flow positif. Cette technique lui permet spécialement d’accélérer la rentabilité de ses activités et de réaliser un bénéfice mensuel cumulé d’un peu plus de 3000 € sur ses cinq appartements.

D’autre part, la technique utilisée par Florent Fouque pour prospecter des locataires potentiels, joue également un grand rôle dans le succès que connait son business. Concrètement, au lieu d’effectuer personnellement les démarches en ce sens, Florent s’entend avec ses colocataires sur la base d’un deal bien précis qui est le suivant : s’ils trouvent eux-mêmes leurs remplaçants, alors le jeune entrepreneur leur remet toute la caution au moment de leur départ. Pour la circonstance, il met à leur disposition des modèles d’annonce et leur confie de petites astuces pour les poster facilement.

Alors que ça fait seulement 6 années qu’il a mis les pieds dans le monde de l’immobilier, Florent Fouque est propriétaire aujourd’hui de 8 appartements qu’il a acquis juste en 3 ans. Et ce, grâce à ses techniques de management bien particulières.