Salut, c’est Théo. Bienvenue dans cette nouvelle vidéo.

Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous, les meilleures techniques et un plan d’action concret pour que vous puissiez créer du contenu qui attire des personnes. Cette technique m’a permis de créer d’énormes articles de blog, d’énormes vidéos qui aujourd’hui tournent pour moi et me ramènent, chaque jour, des prospects qui font que mon entreprise travaille pour moi. Aujourd’hui, j’aimerais déjà vous dire mes accomplissements par rapport à ça.

 

Quels sont mes accomplissements ?

En l’espace d’un an, je suis passé, sur ma chaîne YouTube de 300 vues par jour, à plus de 3 500 vues par jour, automatiquement. Et ça, c’est en créant du contenu qui attire. Ensuite, sur mon blog, je suis passé de 80 visiteurs par jour à plus de 600 visiteurs par jour. Alors, bien évidemment, il y a des optimisations d’un point de vue référencement. Il y a plein de choses qui ont été mises en place. Et aujourd’hui, je ne peux pas dire qu’uniquement avec cette méthode-là, vous pourrez d’obtenir les mêmes résultats. Mais, vous pouvez déjà vous approcher de ce type de résultats, simplement en travaillant de cette façon-là. C’est-à-dire de la même façon que celle que je vais vous présenter ici en neuf étapes.

Sachez tout de même une chose, c’est que tout ce que vous allez mettre en place ici, ce sont des techniques que j’ai développées au travers de plus de deux ans de création de contenu. Donc si, aujourd’hui, vous vous dites : « OK, mais moi, je ne sais pas, je ne suis pas forcément à l’aise avec cette technique-là ». Il est bien évidemment que vous pouvez avoir une technique totalement différente. Mais ce que je vous invite à faire, c’est déjà d’essayer d’intégrer un ou deux points à votre système de création de contenu.

Pour ma part, j’appelle ça des processus. Si vous n’avez pas déjà vu les vidéos où j’explique Comment déléguer des missions et Comment est-ce que je fais pour appliquer certaines choses : eh bien, en résumé, je me crée des processus, des plans d’action concrets. Et à chaque fois que je vais démarrer une nouvelle action, je regarde dans mon ordinateur mon plan d’action, mon processus, et je le suis. Et à la fin, j’ai créé mon contenu.

Ça me permet d’arrêter de réfléchir à ce que je dois faire. Plus je me concentre uniquement sur les choses que je dois faire, sur de l’application et moins je vais réfléchir, moins je vais perdre d’énergie. Je vais vous dire immédiatement en neuf actions concrètes : comment est-ce que je fais pour créer du contenu qui attire des personnes, que ce soit des vidéos YouTube ou que ce soit des articles de blog ou même n’importe quel autre type de contenu.

 

Première étape : Partir d’un mot-clé

Beaucoup de personnes créent simplement du contenu en fonction de ce qu’ils veulent. Alors bien évidemment, c’est vrai qu’on préfère toujours créer du contenu à propos de ce qu’on aime, de ce dont on aime parler, ou tout simplement de ce que l’on fait, ou de notre vie en général. Mais retenez bien quelque chose, c’est que si vous partez d’un mot-clé, votre puissance, votre délivrabilité de contenu est beaucoup plus puissante.

Je vais prendre un exemple très simple. Admettons qu’on crée une vidéo ou un article qui s’appelle Comment j’ai dormi cette nuit où vous racontez, comment est-ce que vous avez super bien dormi cette nuit-là. Ça va peut-être intéresser vos abonnés ou votre entourage. Mais au final, qui aujourd’hui, va taper sur YouTube ou sur Google « Comment est-ce que j’ai dormi cette nuit ». Est-ce que vous voyez ce que je veux dire ? À l’inverse, si on prend un autre type de contenu, un autre type de titre partant plutôt d’un mot-clé, ce serait, par exemple, « Comment bien dormir la nuit ». Ce qui va se passer, c’est qu’on va partir de mots-clés. Et c’est ça qui va nous permettre, d’une façon générale, d’aller plus loin dans la diffusion de notre contenu.

D’ailleurs, retenez bien une chose, si vous regardez chacune de mes vidéos, vous vous dites peut-être « Pourquoi est-ce qu’il commence tout le temps ses vidéos par le mot « Comment », il est relou, on sait que ça commence par le mot « comment », il n’est pas obligé de le mettre à chaque fois ! ». Eh bien, en fait, je fais ça pour le référencement. Je fais ça, tout simplement, parce que les personnes le recherchent. C’est aussi simple que ça. Donc, partez d’un mot-clé plutôt que d’une envie, vous allez vraiment déjà voir des résultats qui sont décuplés.

Je prends un autre exemple. J’ai un partenaire qui fait également des tonnes de vidéos. Ce qu’il a fait, c’est qu’après la création, il a payé un prestataire pour le filmer. Il a payé très cher, enfin très cher, c’est relatif. Il a payé cher, il a investi beaucoup pour filmer plein de vidéos d’un coup. Mais le souci, c’est qu’il n’a pas utilisé des mots-clés de base pour créer ses vidéos. Qu’est-ce qui va se passer ? Eh bien, il n’est même pas sûr que ces vidéos soient recherchées et vues dans un an, deux ans, trois ans, quatre ans. Donc, quelle est l’utilité, si vous créez du contenu, mais que vous n’êtes pas capable de mesurer votre retour sur investissement ou du moins, que vous est déjà sûr qu’il sera moins vu que si vous partez d’un mot-clé.

 

Analyser le mot-clé

Alors pour analyser un mot-clé, c’est très simple. Il existe, bien évidemment, plein de logiciels, plein de web services pour analyser combien de fois est recherché un mot-clé particulier. Pour ma part, j’utilise Yooda Insight. On vous mettra le lien dans la description de la vidéo. Ce site web me sert à analyser combien de fois un mot-clé est recherché.

Attention, vous n’êtes pas forcément obligé de vous baser tout le temps sur des volumes de recherche exacts. Moi ce que je vous recommande, c’est déjà de taper le mot-clé sur YouTube et sur Google. Et vous verrez s’il y a déjà des personnes qui ont créé du contenu à ce sujet. Ce n’est pas forcément un mauvais signe, s’il y a déjà du contenu qui est créé sur le sujet. C’est même bon signe. Ça veut dire que d’autres personnes ont compris qu’en effet, il y avait du monde sur ce mot-clé-là et ont essayé de se positionner. Et forcément, vous avez une part du gâteau à venir croquer.

Donc, analysez votre mot-clé, que ce soit sur Yooda Insight ou, tout simplement, en recherchant le mot-clé. Et vous tomberez généralement sur du contenu. S’il y a du contenu, c’est que c’est déjà une très bonne nouvelle.

Créer un titre accrocheur et différent.

Réfléchissez à un titre accrocheur mais également différent. Quel est l’intérêt ? Admettons, par exemple, qui vous répondiez à une requête qui s’appelle « Comment devenir musclé ». Si vous créez juste une vidéo qui s’appelle « Comment devenir musclé », forcément, il y en a 10 000 autres. Par contre, si vous créez une vidéo qui s’appelle « Comment devenir musclé sans aller à la salle de sport », là, tout de suite, il risque d’y avoir plus de vues.

Si vous allez créer un article sur « Comment faire une pirouette », vous pouvez mettre, par exemple, « Comment faire une pirouette quand vous partez de zéro » ou « Comment faire une pirouette quand on débute » ou « Comment faire une pirouette quand on n’est pas du tout adepte ». Voilà, vous avez compris l’idée : trouver un titre qui soit accrocheur. De cette façon, vous allez tout de même vous positionner sur le mot-clé et vous allez donner envie ensuite aux gens de cliquer sur votre contenu et commencer à le consommer, que ce soit un article ou une vidéo.

 

Préparer un brouillon de votre contenu

Je prends un exemple. Peut-être que vous me voyez avec mon smartphone qui est juste là, dans ma main. Clairement, je suis un très gros tricheur. C’est-à-dire qu’une fois que j’ai trouvé mes idées de contenu, ce que je vais faire, c’est trouver un titre sur mon smartphone. Ensuite, je vais faire un brouillon. Juste ici, j’ai l’application Notes sur mon iPhone. Et je vais prendre à peu près une heure pour préparer trois vidéos.

Comment est-ce que je prépare les vidéos ?

Très rapidement, je les prépare à partir de mon expérience personnelle. C’est-à-dire que ce que je connais déjà, je le mets en application et je vous l’explique ici. Sinon parfois, je vais piocher dans le marché américain. Et sinon, je trouve mes idées ou alors je les teste avec mon équipe. Puisque forcément tout seul, mon temps est limité. Alors parfois, je délègue des missions. Je délègue des tests. Et quand j’ai un bon retour, ça me permet de l’inclure dans mes brouillons.

Préparez votre contenu à l’avance, que ce soit un article ou une vidéo. Imaginez déjà un petit peu dans votre esprit ce que vous allez pouvoir dire dans votre contenu et sur quoi vous allez pouvoir venir apporter de la valeur. Donc, concentrez-vous sur la qualité de vos contenus.

Comment est-ce qu’on fait ? C’est en faisant des brouillons.

Je vous invite tout de suite, si vous avez une feuille, à prendre les premiers mots-clés qui vous viennent à l’esprit, à les analyser, à trouver des titres qui sont accrocheurs en ajoutant même des mots-clés supplémentaires et à faire immédiatement un brouillon.

Et on en vient à la cinquième étape.

Être efficace dans les dix premières secondes

Faire fort dans les dix premières secondes, c’est quelque chose qui est souvent très négligé. Lorsque les gens créent du contenu, que ce soit sur YouTube ou sur Google, à travers un blog ou peu importe le type de plateforme, ce qui est vraiment dommage, c’est que les gens font parfois de l’excellent contenu, mais seulement après quelques lignes ou quelques secondes en vidéo.

Je prends un exemple. Ça, c’est tout simplement une courbe du pourcentage de personnes qui restent sur votre vidéo. Là, par exemple, tout en haut, c’est 100 %. Et là, tout en bas, c’est 0 %. On va dire que ça, c’est le début de la vidéo et ça, c’est la fin. Qu’est-ce qui va se passer ? Au départ, il y a 100 %. Mais très vite, dès les premières secondes, il va y avoir beaucoup moins de monde. Et ça ici, ça représente les dix premières secondes. Donc, dans ce laps de temps-là, vous perdez énormément, vous perdez plus de 30 %, j’ai mis 30% de tête. Mais il est clair que vous perdez déjà 40 % de votre audience après même pas 30 secondes. Donc, c’est vraiment dans ses premières secondes qu’il faut être fort, qu’il faut être impactant. Surtout si vous avez de l’excellent contenu qui est ici et qui malheureusement ne sera pas aussi bien mis en avant que si vous faites fort dans les dix premières secondes.

Un conseil que je vous donne, que vous créiez des articles de blogs, des e-books ou des formations vidéo, peu importe, quand j’ouvre une page sur votre blog, il faut que les dix premières secondes que je passe dessus, les dix premières secondes de consommation soient vraiment très impactantes. C’est ce qui m’incitera à rester plus longtemps.

 

Mettre en forme

La sixième étape, c’est la mise en forme. Si tout simplement, vous vous dites : mettre en forme quoi ? Est-ce que c’est mettre en forme un article de blog ? Est-ce que c’est le montage vidéo ? Eh bien, oui ! Tout à fait. Concentrez-vous également sur une belle mise en forme.

Même si je pense, personnellement, que le contenu est plus important que la forme, il faut également se concentrer sur la forme. Si vous avez du super contenu, si vous êtes vraiment fort dans la création de contenu ici, mais que votre montage vidéo est complètement dégueulasse, ou que dans la mise en pages de votre article, malheureusement, il y a de gros paragraphes qui ne donnent pas du tout envie de lire (bien que votre contenu soit super intéressant)… C’est comme un film vraiment génial, mais dont la bande-annonce est complètement pourrie. Qu’est-ce qui va se passer ?

Même si vous avez travaillé très dur sur votre contenu, malheureusement, personne n’aura envie de le consommer rien qu’en regardant son aspect. Vous connaissez certainement l’expression qui dit qu’on se fait tout le temps une impression sur quelqu’un dans les premières minutes. Eh bien, c’est la même chose. Je dirais même qu’une minute, c’est déjà bien trop long pour se faire une idée de quelque chose.

Je suis sûr que quand vous lancez une vidéo sur YouTube, vous n’attendez pas, en général, deux, trois minutes pour savoir si vous allez rester sur la vidéo ou partir. Donc, mettez en forme votre contenu que ce soit des vidéos, que ce soit des articles de blog. Faites en sorte que ça donne envie de le consommer.

Je prends un exemple, tout simple. Ne créez jamais des paragraphes de plus dix lignes. Ça c’est vraiment un concept important. Je vois des personnes qui font des phrases avec plein de virgules et aucun point. Vraiment, faites des phrases courtes. Faites des paragraphes courts. Espacez bien tout ça. Mettez des titres, mettez des listes à puces, etc. Ça vraiment, ça donne envie et ça incite à la lecture et à consommer le contenu.

Publier au bon moment

Quelque chose de vraiment dommage, c’est le nombre de personnes qui font des supers campagnes e-mails, qui font également des super films, qui font également, par exemple, de la super musique, mais qui les publient à des moments qui ne sont pas du tout appropriés. Imaginez si vous lancez le tube de l’été en plein hiver ! Imaginez si vous lancez un film sur Noël alors que l’on est en plein été ! Est-ce que vous comprenez ce que je veux dire ?

Ça fonctionne sur plein de systèmes différents, par exemple l’e-mail. Si vous envoyez un e-mail au mauvais moment, vous n’aurez jamais autant de succès dans votre contenu, aussi bon soit-il, que si vous envoyez votre e-mail, en pleine nuit.

C’est l’inverse avec plein d’autres types de business. Par exemple, si vous avez une super formation vidéo et que votre page de vente est nulle, malheureusement, il risque d’y avoir des petits soucis. Donc publiez au bon moment.

Publiez au bon moment vos articles de blog. Je vais vous donner un conseil : moi, je trouve que le meilleur moment pour envoyer un e-mail à ma liste, c’est à 7 heures du matin. Pourquoi ? Parce que, tout simplement, ça va venir avant tous les autres qui vont envoyer des e-mails plus tard dans la journée. Ensuite, je vais envoyer mes e-mails plutôt : le lundi, le mercredi, parfois le jeudi, un peu moins le dimanche. Mais lundi et mercredi sont, selon moi, les meilleurs jours de la semaine.

Donc, publiez au bon moment que ce soit des e-mails ou des vidéos. Par exemple, pour les vidéos, je peux vous assurer que le lundi est le meilleur jour de la semaine. Le mercredi n’est pas mal non plus. Le vendredi est un très mauvais jour. Généralement, je fais autant de vues vendredi, samedi, dimanche que seulement le lundi.

 

Partager

Partager. Que ce soit vous ou que ce soit les autres. Je vais d’abord vous parlez de vous et je reparlerai des autres dans l’étape suivante. Ce que vous devez retenir ici, concernant le partage et la viralité de vos contenus, c’est que vous devez partager votre contenu lors de sa publication.

C’est très simple. Si vous avez une chaîne YouTube, un blog WordPress, une page Facebook, un compte Twitter, une page Instagram, peu importe, reliez l’ensemble de vos réseaux pour que lorsque vous publiez sur un réseau, l’ensemble des autres réseaux publie votre contenu. Par exemple, vous publiez un tweet et automatiquement, il sera mis sur Facebook, et inversement. Je trouve ça vraiment intéressant.

Partagez également votre contenu au bon moment. Comment est-ce que vous pouvez faire pour savoir quel est le bon moment ? Tout simplement, grâce à vos statistiques. Bien évidemment, en fonction des canaux, il y a des outils qui sont différents. Personnellement, je ne le traque pas puisque c’est quelqu’un de mon équipe qui s’occupe de faire ça.

Je ne vous cache pas que je suis nul dans tout ce qui est réseaux sociaux, etc. Mais par contre, ce que je sais, c’est que le fait de ne serait-ce que partager votre contenu, va envoyer des signaux aux moteurs de recherche, que ce soit YouTube ou Google, peu importe. Par exemple, vous publiez une vidéo et cette vidéo obtient un nombre de partage vraiment important. Forcément, les partages vont inciter d’autres personnes à regarder votre vidéo. Mais ça va également envoyer un signal à YouTube ou à votre blog WordPress, auprès de Google, de YouTube qui vont se dire « Ah, tiens ! Il y a des gens qui envoient des liens vers votre contenu », c’est peut-être qu’on devrait le mettre un peu plus en avant.

Donc, partager votre contenu. Et maintenant, voyons la neuvième étape.

Inciter au partage

Comment est-ce qu’on fait pour inciter au partage ?

Il existe de nombreuses façons. Je vais vous dire une façon que j’ai découverte dans le livre qui s’appelle Contagious. Je ne sais plus qui l’a écrit, mais c’est quelqu’un qui a travaillé en tant qu’expert chez Facebook, chez Microsoft et chez IBM, donc, de très, très grosses boîtes. Et il y a une ligne de son livre qui m’avait vraiment marqué. Il disait : « Les personnes partagent ce qui les décrit ».

Admettons que vous créez du contenu dans un domaine en particulier, par un exemple : la bourse. Si vous créez une vidéo de motivation de bourse, qu’est-ce qui va se passer ? Ce sont les personnes qui vont vouloir revendiquer auprès de leurs groupes d’amis sur Facebook, Twitter, etc., qu’elles sont dans le domaine de la bourse, même si elles n’y sont pas, elles voudront montrer qu’elles en font partie. Ce qu’elles vont faire, c’est qu’elles vont prendre votre contenu et le partager. C’est aussi simple que ça.

Je vais maintenant prendre un exemple qui me concerne. J’adore partager des citations de business. Donc, en effet, maintenant, je suis dans le business, mais même si je n’y étais pas, sans prendre en compte « mon petit ego », j’aurais envie de montrer autour de moi que je suis « dans le business ». Donc, créer du contenu qui va inciter au partage, qui va permettre aux personnes qui partagent de montrer qui elles sont. C’est très important.

Comment faire pour créer du contenu qui va montrer aux autres qui ils sont ?

C’est particulièrement grâce à la mise en forme. Si vous avez un contenu vraiment intéressant, mais que votre mise en forme est complètement pourrie, malheureusement, vous vous mettez une bonne partie des partages sous de coude. Donc focalisez-vous également sur la mise en forme. Ça va inciter également au partage.

Connaissez vos points forts et déléguez le reste

Maintenant, j’ai une question à vous poser : dans ce plan d’action, qu’est-ce que vous faites le mieux ?

 

Moi, je vais vous dire, parmi ces neuf actions, ce que je fais mieux se trouve juste ici, c’est l’étape numéro cinq : créer du contenu. Moi, aujourd’hui, je suis uniquement bon dans ce truc-là. Je dirais aussi éventuellement ici, dans le brouillon. Ça, c’est un petit peu ma valeur ajoutée.

Aujourd’hui, si je pouvais déléguer des choses, ce serait : de trouver les mots-clés, d’analyser les mots-clés, de trouver les titres qui sont accrocheurs, pourquoi pas aussi préparer un petit peu le script de mes vidéos. Créer les vidéos, c’est moi qui le fais encore à l’heure d’aujourd’hui. Mettre en forme le contenu, ça c’est actuellement délégué, puisque le montage vidéo et moi, ça fait trois.  Publier au bon moment, ça encore une fois, ce n’est pas moi qui m’en occupe. Parce que, forcément, une fois qu’on a analysé le moment où mon audience regarde le plus mes vidéos, ça, je peux le déléguer. Partager mon contenu, ça encore une fois, c’est automatisé et délégué. Inciter au partage, ça encore une fois, je ne suis pas bon là-dedans et c’est pour ça que je vais payer des gens qui s’occupent de mes réseaux sociaux.

De la même façon, ce que je vous recommande, c’est de vous demander sur quoi est-ce que vous êtes bon aujourd’hui. Quelle est votre valeur ajoutée dans ce processus de création de contenu, que ce soit du contenu vidéo ou du contenu article.

La seconde question que je vais vous poser, c’est : « Est-ce que vous pensez que votre temps, votre valeur ajoutée est également sur les autres actions ? Et, qu’est-ce que vous devez mettre en place ? »

Je pense que vous l’avez deviné vous-même parce que vous êtes surement plus intelligent que la moyenne. Si vous êtes sur cette chaîne YouTube, c’est que vous souhaitez trouver des techniques de business. Peut-être que vous vous renseignez également sur d’autres chaînes YouTube, mais le plus important à retenir, c’est de déléguer ce que vous ne savez pas faire de mieux dans votre entreprise.

Je prends un exemple très simple. Quand j’étais en Thaïlande, je gagnais à peu près de 8 500 euros par mois, je travaillais 9 heures par jour. Et le jour où j’ai compris la puissance de la délégation, qu’est-ce qui s’est passé ? Eh bien, j’ai travaillé trois heures de moins par jour, pour seulement 1 000 euros par mois de dépenses. Est-ce que vous comprenez la puissance de la délégation ? Déléguer à des personnes qui le font mieux que vous. Ça vous coûtera moins cher, que ce soit en termes d’argent ou en terme d’énergie.

Si vous voulez également créer du contenu d’excellente qualité, c’est peut-être que derrière, vous avez une envie de développer une audience, de lancer un business en ligne. Pour ça, je vous ai créé une liste de 30 thématiques de blogs qui rapportent. Vous pouvez également les utiliser sur des chaînes YouTube, si vous le voulez. Plus une heure de formation pour vous aider à démarrer vos business en ligne. Tout ça est disponible sur le lien qui apparaît à l’écran, si vous êtes sur ordinateur. Si vous êtes sur smartphones et tablettes, il se trouve dans la description de la vidéo.

Vous recevrez donc par e-mail, 30 thématiques de blog qui rapportent, plus une heure de formation pour vous aider à démarrer vos business avec des actions concrètes comme celles qui se trouvent ici.

On se retrouve de l’autre côté et je vous souhaite tout le succès que mérite votre business.

Ciao !